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Frissonnement :
Une gouache de Alvaro De Taddeo
Non ce n’est pas l’hiver
Le voile
Est de brume
Le soleil pâle
Éclaire à peine
La blanche colombe
Le clocher se hausse
Au-dessus de la ville
Les arbres s’inclinent
Baignant leur chevelure
Dans l’onde du courant
Qui coule en frissonnant
Non ce n’est pas l’hiver
Mais Juste un printemps
Jour de pluie et de grêle
Brouillant l’instant
ABC
Pour l'herbier poésie d'Adamante
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Commentaires
4MadoMardi 7 Juin 2016 à 08:42Bonjour Annick,
Il est vrai que notre pays a eu sa dose de grisaille et même beaucoup plus ! Mon Dieu les pauvres gens....
Mais seul un instant se brouille pour mieux sourire ensuite, du moins je le souhaite.
Un bien joli tableau et merci pour tes mots !
Amitiés ensoleillées aujourd’hui !
Annie
fleuves, qui attirent le peuplement humain et qui quelquefois leur apportent leur tumulte et leurs débordements.
tes mots en description poétique de cette gouache toute en nuances de pâles
Non se n'est pas l'hiver!
Mais est-ce bien le printemps ?
Sans fards et presque sans bleu ?
Belle journée
un texte qui colle parfaitement à trop de jours que l'on a connu en mai....
depuis deux jours on a presque trop chaud
chercher l'erreur ?!!!!!!
bisous
patricia
Coucou ABC
Poème tout à fait de circonstance ! Le printemps est bien là mais comme voilé par trop de pluies battantes . Le paysage se noie en négatif dans cette humidité...
Vivement que le Soleil reprenne le flambeau et colore tout d'une lumière éclatante....
Bravo pour ce poème fort bien écrit et merci
Bisous
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