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Panissières :
Ma ville se réveille
Ma ville est un village
Bien ordonné et bien sage
L’épicier fait face au pâtissier
Le coiffeur au boulanger
Le samedi les mamies papotent au marché
Certaines aux bistrots se sont attablées
La fleuriste décore et embaume la chaussée
Monsieur le maire salue ses administrés
Parfois résonne la sirène des pompiers
Urgence, ambulance et maison de santé
Mon village est une ville
Ma ville est éveillée
Rien de plon plon
Dynamisme et création
Multiples associations
On y « Notin » goût
Pour l’aventure
En caravane
On y redécouvre le bistanclac- pan
En admirant cravates et damassé
En son musée
On y tisse
Au plus haut de la gamme
Tassinari lié à Chatel
Le monde shabille
Des tissus de chez Dutel
Parfois on y déraille
En monorail
Dans ses Montagnes du Matin
Ma ville est soleil levant
On s’y amuse à la Saint Jean
De bonjour en bonjour
Échangés en se croisant
Par chacun des passants
Que de bons jours
En perspective !
Comment ça va ?
Ça va ben
Faut ben t’y faire aller !Pour une mamie
C’est une chance*
D’habiter en vacances
ABC* Une chance qui s'accompagne de quelques changements de rythme et d'activités
ne vous étonnez donc pas à partir de maintenant et pour quelques temps
ce blog fonctionnera en pointillés et je ne serai pas très présente sur les vôtres
Bel et bon été à vous tous avec un grand merci pour votre fidélité.
ABC
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Métier après métier
bonheur d'une découverte
qui se savoure lentement
anthologie en partage
écrite pour le partage
à partager
au rythme de l'été
pour le sourire des enfants
et
le rêve des petits comme des grands
ABC
Indispensable en best-seller de l'été, pour vous le procurer, cliquez sur le livre
16 commentaires -
Pour la photo de la semaine de Patricia :
Cette semaine,
dans le jardin de mon voisin,
j'ai rencontré Pinocchio
Il était en compagnie de Geppeto
qui se cachait sous son bonnet de nuit
ABC
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Ce jour-là, dans un grand cri, le printemps s’envola emportant sur son dos, les rameaux de sa tendresse. Aurait-il eu peur de l’été ?
Depuis ce jour, happées, par la pression des ardeurs humaines, les saisons, en émoi, se heurtent et se bousculent. Leur tension évolue au plus haut de la gamme. Un jour sans, un jour avec, leur moral, en porte à faux, s’enraye.
Sans la tendresse du printemps, point de chaleur de l’été, point de couleurs de l’automne, adieu le manteau blanc de l’hiver…
Le ciel, rancunier, s’embrume. La terre tantôt se dessèche, tantôt s’inonde, tandis que le baromètre du temps cherche sans relâche où le printemps a bien pu s'envoler ?
Si, au gré de vos promenades, vous le rencontriez, dites-lui combien, sans lui, le monde est déboussolé…ABC
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