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Jeudi poésie, défi 145
Fanfan tient toujours la barre
J'ai choisi Racine et son songe d'Athalie pour vous faire trembler
« C'était pendant l'horreur d'une profonde nuit.
Ma mère Jézabel devant moi s'est montrée,
Comme au jour de sa mort pompeusement parée.»C’est alors que minuit, à l'horloge, a sonné
aussitôt, un cri, strident, déchira la nuit
« Maman, je veux faire pipi »
ABC
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Commentaires
Mon père me récitait souvent quand j'étais petite : c'était pendant l'horreur d'une profonde nuit et cela m'effrayait vraiment. J'ai donc bien apprécié ta version. Belle journée
un conte fantastique qui finit en sourire mouillé, mon père aussi aimait bien déclamer ces premiers vers, je ne m'en souvenais plus du tout
bises et bonne journée
GENIAL!!! et cela me rappelle que ma mère nous racontais qu'avec ses camarades de lycée elles chantaient ce texte sur l'air de 'la mère Michèle' ... cela aussi ne manquait pas d'originalité! Bises; Simone
Haha on ne s'y attendait pas ;) Vite alors avant qu'il ne soit trop tard
Bises Annick
Domi.
Plus d'envie ce soir pour préparer les liens, ça attendra bien demain!!!
Ah cela fait partie des morceaux de bravoure appris par cœur et aussi décortiqués en commentaire de texte ...
bravo pour la suite inattendue et tout aussi troublante quand c'est dans le premier sommeil de la nuit ...
belle fin de semaine
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Bonjour très beau poème merci bonne journée