• Bourrasques :

     

    " Quand on a peur du vent, des loups, de la tempête,

    Cher petit oreiller, que l'on dort bien sur toi"

    Marceline Desbordes-Valmore

     

    Petit oreiller :

     

    Le vent gronde

     en écho la pluie

    tambourine aux carreaux

    l'hiver à défaut d'être froid

    se laisse aller à la colère

    les arbres s'affolent

    les plus faibles s’affalent

    Depuis quelques jours

    j'habite

    les Hauts de Hurle-vent

     

    Petit oreiller :

     

    ABC

     


  • Commentaires

    1
    Mercredi 10 Février 2016 à 05:15
    jill bill

    Eh oui sur l'oreiller, sous la couette, nous connaissons un hiver trop doux mais qui a ses mauvaises humeurs... merci ABC

    2
    Mercredi 10 Février 2016 à 05:52

    Oh oui qu'on est bien sous la couette et dans le moelleux de son oreiller quant tout s'agite autour de vous. Joli poème

    3
    Mercredi 10 Février 2016 à 08:31

    tempête sous mon crâne, même la pluie, le vent, sont doux à mes oreilles....

    Bises et bonne journée

    4
    Mercredi 10 Février 2016 à 08:51

    "les arbres s'affolent

    les plus faibles s’affalent"

    Belles allitérations, qui nous font entendre le vent ...

     

    5
    Mercredi 10 Février 2016 à 08:55

    Bonjour Annick,

    Je vois qu'hier nous avons eu le même thème !

    Mais mon poème attend son tour !

    Quant à ma girouette que tu verras, elle a retrouvé le nord qu'elle avait perdu !sarcastic

    Merci pour toutes ces jolis mots que tu nous offres !cool

    Bonne journée plus calme.

    Amitiés.

    Annie

     

    6
    Mercredi 10 Février 2016 à 09:25

    ton poème en très bel écho aux vers de Marceline. (Je l'appelle ainsi non par familiarité mais parce que j'ai toujours beaucoup de mal à écrire son nom sans l'écorcher).

    Quand la tempête gronde

    Même sur l'oreiller

    le sommeil est perturbé

    belle journée peut-être un peu plus calme et des flocons

    7
    Mercredi 10 Février 2016 à 10:21

    oh oui que l'on est bien sous la couette quand la tempête frappe dehors....LOL

    j'aime beaucoup ta première photo

    bisous

    patricia

    8
    Mercredi 10 Février 2016 à 10:36

    Dans tes mots on entend le vent souffler...

    J'aime beaucoup ta première photo:...un joli filtre naturel...

    9
    Mercredi 10 Février 2016 à 11:53

    J'aime tes mots... mais j'espère que tu n'as pas trop d'arbres mis à bas, chez toi.

    Passe une douce journée. Bises.

    10
    Mercredi 10 Février 2016 à 14:02
    Josette

    les girouettes s'affolent quand la tempête gronde

    gardons des pensées pour l'homme des bois

    11
    Mercredi 10 Février 2016 à 15:33

    Bonsoir beau poème, enfin le vent s'est calmé mais la pluie est toujours là, bonne soirée

    12
    Mercredi 10 Février 2016 à 16:09
    La tempête t'a joliment inspiré...
    Merci
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    13
    Mercredi 10 Février 2016 à 16:17

    La pluie toute seule, ça peut aller. Mais quand ça souffle, c'est atroce. Merci pour les poèmes. Et en mars nous aurons les giboulées. Bon après midi.

    14
    Mercredi 10 Février 2016 à 16:32
    LADY MARIANNE

    oui en hiver l'oreiller est notre meilleur ami !!
    belle description poétique du climat chez toi-
    j'espère pas de dégâts-

    15
    Mercredi 10 Février 2016 à 16:57
    colettedc

    Une hiver bien spécial, oui, en effet, surtout de votre côté de l'océan ! Magnifique texte et photos Annick ! Bonne poursuite de ce mercredi ! Amitiés♥

    16
    Mercredi 10 Février 2016 à 20:12

    Pas top ce temps en effet, on a eu du vent aussi  et de la pluie en provence, bisous

    17
    Mercredi 10 Février 2016 à 20:23

    superbes photos et mots!

    18
    Mercredi 10 Février 2016 à 20:55

    C'est un poème qui dit bien l'air du temps

    19
    Jeudi 11 Février 2016 à 05:30

     Ici aussi hier l'Aude se croyait là-bas , au pays de Hurlevent!

    Belle page Annick

    bises

    smile

    20
    Mardi 8 Mars 2016 à 20:23

    Le vent, la pluie nous livrent messages contre nos fenêtres en larmes. "Pouvez-vous nous dire ce qui se passe sur la terre?" Sans réponse, nous nous réfugions sur l'oreiller à bisous.

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